La signalétique a pour but d’informer (ou d’orienter) vos clients et prospect de façon rapide et vue de loin. Prenons l’exemple d’un salon. Vous êtes créateur de sabot de rasage écologique. Lors de ce salon, vous vous ne bénéficier pas d’un support grand format qui indique les verticales de votre activité, vous risquez fortement de louper de nombreuses conversions par manque de visibilité.

Concernant le packaging, il s’agit simplement de donner votre identité de marque à vos produits afin que votre clientèle et communauté vous reconnaisse d’un coup d’œil !

Les phases de retouches (ou retours) sont nécessaires pour que votre site vous corresponde. Chez Paranoir, nous avons les yeux et les oreilles aiguisés et nous savons vers quoi avancer. C’est pourquoi nos packs comprennent 2 phases de retouches qui rentrent dans un temps de travail équivalent à 2 heures chacune. Au delà, une retouche complémentaire est facturée 114€. Faites-nous confiance, cette petite recette permet de se focaliser sur l’essentiel et évite de s’embourber dans des situations interminables. 🙂

Paranoir n’ennuie pas ses clients avec une cession de droit. Nous travaillons principalement avec des petites et moyennes entreprises. En gros, Paranoir vous cède de base les droits des livrables listés.

On a tendance à confondre cession de droit et cession des fichiers sources qui sont deux choses différentes. Si vous souhaitez récupérer les fichiers sources, c’est tout à fait possible. Cela fera l’objet d’un devis.

Ici les explications de « Com Quat ». Je cite :

La cession de droits d’auteur est le fait de céder les droits d’auteur d’une création pour un client, dans une certaine limite. Cela vous permet donc d’utiliser la création effectuée pour vous, sans pour autant avoir une liberté totale dessus et protéger l’oeuvre initiale.

Lorsque c’est bien expliqué, ça aide beaucoup ! La charte « mes fichiers sources ont une valeur » le fait très bien. Je cite :

Un Big Mac préparé par Mc Donald’s en France coûte en moyenne 3,80 €. Son secret de fabrication quant à lui n’a pas de prix… Ou plutôt si, il en a un : celui que serait prêt à débourser le repreneur de la société McDonald’s.

Dans le domaine du graphisme, la logique est la même. Dès lors, le résultat du travail du graphiste comparable au Big Mac, qu’il vend à son client pour un certain prix, n’entraine pas la vente des « sources » qui l’accompagnent et qui témoignent du savoir-faire développé par le graphiste.